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L'actualité

des technosciences

vue par Jean Philippe H
 

Une porte vers un futur prodigieux

Une information de source probablement sure.
MAGAZINE

d'actualités scientifiques choisies

Seconde partie.

Dernière mise à jour du 29 octobre 2002. 

par ordre chronologique simple

 

Articles:

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Des chercheurs du MIT font dire n’importe quel texte à n’importe qui !

Le GI Superman.

L’avion à vapeur qui vole sans moteur. (L'auteur dit n'avoir pas bu ;o)

Que la lumière soit... liquide !

" L'hydrogène métallique ".

Téléphonie, de l’Amérique à l’Italie.

Mars à seulement 15 jours de la terre.

La terre transpercée à la vitesse de 400 kilomètres/seconde par de mystérieuses particules.

Une interview exclusive de la Maison Blanche sur la guerre contre le terrorisme: un peu d'humour.

Le climat se dégrade sérieusement.

A suivre...

Des chercheurs du MIT font dire n’importe quel texte à n’importe qui !

 

Encore un truc à couper le souffle, et qui demandera bientôt des mises en gardes. Mais encore une fois ceci vient des USA.

De Stéphan Raphaël:

" Des chercheurs du MIT font dire n’importe quel texte à n’importe qui ! Troublant et Quasi indétectable !

Cambridge. États Unis, Laboratoire du MIT(Massachusetts Institute of Technologie)

Sur un écran d’ordinateur, Marylin Monroe pousse la chansonnette en japonais ! l’accent est parfait, l’intonation irréprochable et le son respecte scrupuleusement le mouvement des lèvres. Enfin un doublage réellement réussi ?

« Pas du tout ! » s’exclame Tomaso Poggio, professeur de neurosciences, « c’est bien Marylin qui prononce ces mots mais elle ne les a jamais dits ! »

En combinant intelligence artificielle et vidéo il est possible de faire dire n’importe quel texte à n’importe qui.

À l’origine de la manipulation, un simple ordinateur, un puissant logiciel et une speakerine.

Quatre minutes d’une séquence vidéo suffisent au logiciel pour repérer et photographier chaque mouvement de lèvres en fonction des sons émis. Donnez-lui un nouveau mot, et l’ordinateur ira puiser dans sa banque de données pour y prélever les mouvements adéquats et les superposer au visage.

Selon Tomaso, ce procédé pourrait favoriser l’apprentissage de certaines langues. Autre secteur convoité :l’industrie du cinéma ou il permettrait de rendre les doublages encore plus réaliste.

En attendant, cette innovation suscite déjà des polémiques outre-Atlantique, en tête de file, les associations de journalistes qui s’inquiètent de l’utilisation de cette technique au profit de la désinformation.

Autre dérive soupçonnée, un état peu scrupuleux pourrait très bien user de l’image d’un terroriste pour lui faire dire ce qu’il veut et légitimer une action sur le terrain.

Petit détail encore : en regardant bien, on peut distinguer une différence d’expression entre le haut de front et le mouvement des lèvres. un logiciel est en cours d’études pour remédier à ce problème.

Le bluff peut-être, mais la réalité est encore trop complexe ! "

Morale de cette innovation : ne plus croire tous ce que l’on voit et garder son esprit critique !!!

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Superman peut prendre sa retraite !

Thomas L. Magnanti, professeur de science au Massachusetts Institute of Technology (MIT, États-Unis), s’exprime en ces termes :
« Imaginez l’impact psychologique sur l’ennemi, quand une escouade de GI, dotés de pouvoir de surhommes, qui résistera à l’impact des balles grâce à une cotte de mailles légère comme une plume et sautera au-dessus d’un mur de 6 mètres de haut, grâce à l’énergie stockée dans les chaussures. »

L’armée des États-Unis vient en effet, de verser 50 millions de dollars au MIT pour ouvrir le tout nouvel Institute for Soldier Nanotechologies.

Mission créer d’ici 5 ans, un équipement révolutionnaire, avec pour objectif : Camouflage, résistance aux balles, détection contre les attaques chimiques et biologiques, puis décuplement des performances humaines.

Le tout dans un équipement de 2 Kg, contre 6 Kg du fourniment actuel.

Côté Europe nous restons positifs, et voyons la nanotechnologie au quotidien, en voici quelques exemples.

Les vitres, qui contiendront des nanoparticules d’oxyde de titane qui les rendent autonettoyantes.

Visières et lunettes de soleil, mais aussi pare-brises de voiture et d’avion seront recouverts d’une pellicule de nanomatériaux résistant aux rayures.

Les vêtements et tissus d’ameublement comportant des nanofibres de protection pour les molécules de coton qui n’absorbent pas les liquides. Anti tâches et résistant à la déformation. (infroissable)

Mais aussi les pansements, recouvert d’une pellicule de nanocristaux d’argent, ils tuent les bactéries et réduisent l’inflamation.

Et en cours de réalisation actuellement, une nouvelle génération d’écran plat conçu à partir d’un film de nanotubes de carbone.

Sont à l’étude des nanomolécules organiques afin de prévenir tous risque de maladie chez les astronautes qui partiront sur mars en 2020. Ceci sous forme de milliards de molécules injectées dans l’organisme comme un simple vaccin, qui devront défendre le corps et réagir à tous risques d’infection (il n’y a pas d’hôpital dans l’espace, et le voyage durera 3 ans.) Et bien d’autres choses encore...

Les dix à vingt ans à venir seront riches de rebondissement !

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L’avion à vapeur.

L’avion à vapeur qui vole sans moteur.

Certes, l’appareil qui exécute ce vol n’est qu’une maquette de papier d’un poids de 20 milligrammes et quelques centimètres de long, mais son système de propulsion est révolutionnaire.

L’inventeur, Takashi Yabe du Tokyo Institute of Technology, pense signer là un procédé qui pourrait devenir un mode de locomotion du futur.

Son objectif : concevoir des engins capables de voler dans des milieux hostiles comme l’espace, l’air raréfié des hautes altitudes ou à proximité d’une éruption volcanique.

Comment ?

Sur des engins classiques, le carburant est embarqué pour alimenter un moteur à réaction, dans ce nouveau type de propulsion, l’idée est de dissocier la machine de la source d’énergie.

Pour cela, l’avion possède à l’arrière de la queue, un petit dispositif en aluminium dans lequel un système d’alimentation en eau fait perler une gouttelette, c’est alors qu’un laser depuis une station au sol, vient frapper la pièce métallique.

L’énergie calorifique apportée par le laser pulsé de 590 Millijoules, échauffe le métal et l’eau. Celle-ci est vaporisée en partie, tandis que le métal en chauffant éjecte quelques particules métalliques Ces deux phénomènes provoquent l’émission brutale d’un gaz, composé de particules et de vapeur qui engendre une surpression et donc une poussée qui propulse l’appareil vers l’avant

Par la suite, on pourrait utiliser la condensation de l’air ambiant pour obtenir l’eau nécessaire, ce qui rendrait le système autosuffisant.

Ce procédé intéresse également la médecine :

Le principe, injecter dans la circulation sanguine d’un patient, une micro caméra bardée de trois cibles métalliques de quelques dizaines de micromètres de diamètre et percé de neuf trous. Le médecin guide ensuite la caméra dans le corps en balayant la peau avec un laser de faible puissance qui chauffe le système et produit l’éjection de petits jets de vapeur qui propulse la caméra dans les vaisseaux et jusqu’aux poumons.

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Que la lumière soit... liquide !

Humberto Michinel, de l’université de Vigo en Espagne, vient de montrer comment les photons d’un faisceau laser pourraient être condensées en petites gouttes de lumière et utilisés pour de futurs ordinateurs optiques.
Selon lui, par certains aspects, notamment le mouvement aléatoire des photons, la lumière n’est pas très éloignée d’un gaz et pourrait donc être condensée sous forme liquide.

Il suffirait que le laser traverse un matériau ayant un indice de réfraction non linéaire élevé, c’est-à-dire capable de ralentir et donc de condenser le faisceau lumineux, d’autant plus que celui-ci est de forte puissance.

Ce travail n’en est qu’à un stade théorique. Principal écueil : le matériau en question, qui fait encore défaut.

Le meilleur candidat serait un verre de la famille des chalcogénures, composés non de silice, mais de telure, d’arsenic, de sélénium et de soufre.

Pour Jean-Luc Adam, directeur du laboratoire Verres et Céramiques de l’université de Rennes, ces verres présentent encore trop d’impuretés pour passer de la théorie à la pratique.

De la lumière dans le gaz ?

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" L’hydrogène métallique" : vols spatiaux plus rapides ?

Un élément chimique prédit par la théorie : « l’hydrogène métallique »

Pour commencer, voici quelques repères de grandeur sur la pression.

Une atmosphère = 1 bar, soit 1 kg de pression par cm².

1,3 atmosphère = pression atmosphérique au niveau de la mer.

2 à 5 atmosphères = pneu de vélo ou voiture.

500 atmosphères = arme à feu.

1000 atmosphères = 10 000 M sous la mer.

55 000 atmosphères = synthèse du diamant.

3,6 millions d'atmosphères = pression au centre de la Terre.

70 millions d'atmosphères = pression au centre de Jupiter.

Quel serait son avantage ?

Pour la propulsion, il faut quatre fois plus de temps pour brûler 1kg d’hydrogène métallique que 1kg de propergol de la fusée Ariane pour la même poussée. Au lieu de durer six mois, le voyage vers Mars ne prendrait que deux mois à peine.

Officiellement, l’hydrogène est un métal, c’est-à-dire qu’il conduit le courant électrique grâce à son unique électron, tout comme son cousin, le lithium situé dans la même colonne que lui dans la bible de la chimie. (tableau périodique de physique de Mendeleïev)

Le problème est que l’élément le plus abondant dans notre univers, est un gaz à pression ambiante parfaitement isolant !

(où est l’erreur ?)

La théorie a tranché en 1935 : l’hydrogène n’est pas métallique dans les conditions normales certes, mais à très hautes pressions, oui ! mais à plusieurs millions de fois la pression atmosphérique il le devient.

Une équipe française du commissariat à l’énergie atomique, a récemment atteint des sommets inégalés dans ce domaine,

et pour eux cette découverte est riche en promesses.

Pour les astrophysiciens, d’abord, car cet état existe à l’état liquide au cœur des planètes géantes comme Jupiter et Saturne. Dans l’espace, la forme solide raccourcirait le voyage vers Mars, s’il était utilisé comme combustible grâce à sa très forte densité. Il serait aussi supraconducteur entre 300 et 400 Kelvins, c’est-à-dire qu’il conduirait le courant sans aucune résistance à des températures ordinaires. De quoi ridiculiser les matériaux actuels, supraconducteurs à 140k. (les électriciens seraient ravis !)

Et mieux encore, cela faciliterait la réalisation de la fusion nucléaire. Ce qui explique sans doute l’intérêt du CEA et de ses homologues américains.

La physique fondamentale en tirerait également profit, car cette découverte ouvre des fenêtres sur la mécanique quantique.

À très basse température, les physiciens ont déjà leurs atomes ultrafroids et à haute pression, ils auront ce nouvel objet avec sans doute des applications imprévues à découvrire….

De Paul Loubeyre, directeur de recherche au CEA à Bruyères-le Châtel :

« l’hydrogène, avec son électron unique gravitant autour d’un seul proton, est le plus simple de nos éléments, mais paradoxalement, c’est aussi le plus complexe »

En Avril 2002, son équipe a atteint probablement le dernier palier avant le sommet : 3,2 million d’atmosphère pour un objectif estimé au delà de 4 millions.

Dès les années 1970, de fausses annonces coté américain ont circulés, rebelote en 1989 avec une équipe du laboratoire de Washington qui prétend avoir atteint les 2,5 millions d’atmosphère.

En 1996, encore plus fort, toujours coté américain, l’équipe de Williams Nellis au LLNL (encore lui ?!!) annonce qu’elle a métallisé l’hydrogène.

Explication de Gilles Chabrier du centre de recherche en astrophysique de Lyon, dont le modèle théorique sur l’hydrogène fait référence dans le monde entier.

« Aujourd’hui, nous savons que ce n’était pas vrais, certes, un courant électrique a été mesuré, mais il ne s’agissait que de quelques électrons arrachés çà et là aux molécules. Rien à voir avec un vrai métal et ses électrons libres qui conduit l’électricité même à basse température »

La technique est assez simple et utilise le diamant. Matériau le plus dur que l’on connaisse.

Prisonnier entre deux pointes de diamant avec des tables larges de quelques dizaines de micromètres, un échantillon subira une pression colossales, celle-ci augmentant comme l’inverse de la surface de contact. 6 où 7 millions d’atmosphère sont possible en théorie

Inventé dans les années 1950, ces enclumes à diamants ont pris leurs essors dans les années 1980 pour la recherche sous haute pression en physique et en biologie. Pour rapprocher les deux pointes, l’équipe de Paul Loubeyre utilise de l’hélium gazeux qui gonfle une membrane actionnant un piston de façon très contrôlée..

Une fois le cylindre chargé, le robinet est fermé et l’échantillon peut alors rester comprimé pendant plusieurs jours voir des mois. De l’hydrogène précontraint a ainsi voyagé de Bruyères-le-Châtel jusqu’à Grenoble, en passant par les Etats- Unis et l’Angleterre. L’objet tient dans la main et l’obtenir ne nécessite qu’une bouteille d’hélium haute comme celle d’une eau minérale, mais la modestie de l’expérience ne doit pas faire oublier qu’au centre de l’échantillon la pression est aussi grande qu’au cœur de la Terre , soit 3,2 millions d’atmosphère et 100 Kelvins en phase solide !

Les américains ne possèdent pour le moment, que d’un canon de 20 m de long qui propulse un gaz éjecté à la vitesse de 7 Km/seconde qui génère de 0,2 à 1,8 million d’atmosphère durant une microseconde et de plusieurs dizaines de milliers de Kelvins en phase liquide. Voir article de David Larousserie.

Il y a quelques semaines, des échantillons précontraints furent mis dans le collimateur du plus puissant faisceau laser au monde, le laser « vulcain » au Rutherford Appleton Laboratory, en Angleterre.

Le laser engendre également des ondes de choc dans l’échantillon, la compression dynamique complète la compression statique. Paul Loubeyre pense ainsi atteindre les 10 millions d’atmosphère dans l’hydrogène liquide et à plusieurs milliers de degrés Celsius comme au centre de Jupiter à condition de bénéficier de laser encore plus puissant, et cela tombe bien, puisque la France a en projet le laser Megajoul et ses 240 faisceaux. Le chercheur qui se contenterait volontiers de moins, est en pourparlers avec l’école polytechnique pour utiliser son prochain « monstre » transportant deux fois plus d’énergie que le laser « Vulcain »

La science nous pousserait-elle un jour à aller passer un week-end dans une autre galaxie ?

Le webmestre : " avez-vous compris quelque chose à ce truc ? moi pas pigé !".

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  Téléphonie, de l’Amérique à l’Italie.

Antonio Meucci

Le célèbre inventeur du téléphone, Alexandre Graham Bell, vient de perdre son titre.

Le congrès américain a décidé d’accorder la paternité de l’invention à un Florentin né en 1808, émigré d'abord à Cuba et aux USA ensuite.

Antonio Meucci, avait proposé à New York dès les années 1850, un prototype et déposé un brevet pour son « Telefono »., mais faute d’argent, les droits ne furent pas renouvelés. Alexandre Graham Bell, déposait le sien en 1876.

Ce conflit de reconnaissance durait depuis 1885, dorénavant la paternité revient à Antonio Meucci, inventeur du téléphone 26 ans avant Alexandre Graham Bell.

Cette invention est maintenant redevenue à juste titre, européenne, si l'on peut dire, puisque les américains sont, essentiellement, tous de souche européenne.

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Mars à seulement 15 jours de la Terre.

 

Grâce à un système de propulsion nucléaire jamais égalée, le voyage vers Mars prévu par la N.A.S.A en 2015, pourrait être considérablement réduit de plusieurs mois.

D’après les calculs d’Ygal Romen et de son équipe de l’université Ben Gourion, en Israël, franchir 80 millions de kilomètres à la vitesse de 60 Km/par seconde, ce qui permettrait d’atteindre Mars en à peine 15 jours, est possible, alors qu’antérieurement il était prévu - dans les prévisions les plus optimistes - un périple de plus de 6 mois.

Le prix Nobel de physique, l’illustre chercheur italien Carlo Rubbia du CERN de Genève, a déclaré que l’emploi de 1 Gramme d’américium 242m, comme carburant nucléaire qui dégage cent fois plus de chaleur que le plutonium, fournirait autant d’énergie que 1 tonne du meilleur carburant chimique.

Le principe, d’une grande simplicité, du moteur à fission grâce au métal « Américium 242m » :

Tandis que la chambre de combustion est couverte de très fines feuilles d’américium de quelques micromètres, la fission des noyaux de métal est enclenchée par un bombardement de neutrons, faisant grimper la température en flèche.

Les fragments d’atomes produits par la fission, ionisent un gaz, par exemple l’hydrogène qui se trouve en très importante quantité dans le système solaire, puis s’écoule à travers la chambre de combustion.

Le gaz surchauffé se détend brutalement et est éjecté par la tuyère, propulsant la navette vers l’avant.

La rareté de l’Américium lui induit un prix qui laisse encore pantois, mais les calculs démontrent que 7 Kg de ce métal, suffirait pour rejoindre la planète Mars.

Pour les inconditionnels de l’écologie, une solution est envisagée pour ne pas avoir de retombés éventuelles sur terre de débris hautement radioactif.

Si la sortie de l’atmosphère terrestre se fait avec un réacteur chimique et que le moteur nucléaire n’est actif que dans l’espace, les chercheurs estiment qu’il n’y a pas matière à controverses.

Malheureusement, la décision d’envoyer des radio-isotopes dans l’espace est un problème exclusivement politique, d’autant que le prix à payer pour une telle opération est faramineux et relève d’une coopération internationale

Depuis le programme américain Nerva dans les années 1960, aucune étude de propulseurs nucléaire spatial n’a jusqu'à maintenant abouti.

Pour cause d'insuffisance de soutiens financiers, la technologie manque une fois de plus à l’appel.

L’américium, ce métal gris issu du plutonium, a été découvert en 1944 à Chicago par Glenn Seaborg, prix Nobel de chimie. Il est souvent utilisé en ville et nous passons dessous sans le savoir, car ces propriétés spécifiques lui valent d’équiper la plupart des détecteurs de fumée.

La terre transpercée à la vitesse de 400 kilomètres/seconde par de mystérieuses particules.

À l’origine de certaines secousses sismiques: des missiles extraterrestres de matière étrange traversant la Terre de part en part.

Selon une équipe de la Southern Methodist University de Dallas, des chutes de paquets de quarks, la plus élémentaire de nos particules qui constituent la matière ordinaire des atomes, auraient traversé notre planète à deux reprises.

Les secousses atteignaient la magnitude de 4,5 sur l’échelle de Richter, cela peut faire peur quand on sait que le paquet de quarks est de la taille d’un globule rouge, soit une dizaine de micromètres de diamètre, mais qu’il pèse 1 tonne !!

Ces petites percées qui provoquent de grandes secousses, se sont révélées difficiles à identifier, pour les démasquer il aura fallu 7 ans à l’équipe scientifique d’Eugène Herrin pour passer au crible les données sismiques d’une dizaine de stations d’enregistrement dans le monde.

D’après Eugène Herrin « les tremblements de terre normaux sont des sources ponctuelles d’énergie, au contraire, le passage d’un paquet de quarks est une source linéaire d’énergie sur tout son parcours. Sa trace sur les sismographes est donc très différente »

Sa dernière étude a démontré que dans les matinées des 24 octobre et 24 novembre 1993 des « missiles extraterrestres » ont traversé la Terre à la vitesse de 400 kilomètres par seconde pour les premiers et 200 kilomètres par seconde pour les seconds.
Le premier jet, entré le 22 octobre 1993 à 9 H 55' 47 ", dans l’Atlantique, est ressorti 27 secondes plus tard dans l’océan indien au large de l’Inde.

Le second, entré le 24 novembre 1993 à 10 H 17' 38 ", depuis un point dans l’Océan Pacifique, a mis 19 secondes pour ressortir dans l’Antarctique.

7 Stations pour l’un et 9 pour l’autre, attestent du violent mais bref passage de cette matière étrange.

Ces paquets de quarks, sources hyper-massives, personne n’en a jamais vu… pire, la théorie interdit leurs existences ! ou presque.

Au nombre de six, les quarks sont des briques élémentaires de la matière.

3 quarks forment un proton, 3 autres un neutron et avec 2 quarks on peut former d’autres molécules appelées « mésons »

Les théoriciens, Arnold Bodmer et Edward Witten, ont calculé que sous certaines conditions, des « paquets de quarks » libres ne formant pas de particules pourraient exister.

Les quarks sont partout, y compris dans le vide, car pour les Physiciens, le vide est plutôt bien rempli. Des particules y apparaissent et y disparaissent sans cesse.

Dans les accélérateurs, les expériences reviennent à bousculer le plus possible un faible volume de vide pour en extraire des particules, dont le quarks.

Les paquets de quarks seraient-ils des débris du Big Bang, séquelles de collisions d’étoiles à neutrons, ou apportés par les rayons cosmiques ? les théories ne manquent pas pour s’expliquer la venue de ces paquets qui ont secoué notre planète et les sismographes !

À la fin de 2003 l’expérience AMS (Alpha Magnétique Spectrometer) sera installée sur la station spatial internationale. Elle sera dédiée en priorité à la recherche d’antimatière dans l’univers et des chercheurs pourront guetter les paquets de quarks (matière étrange) dans les rayons cosmiques.

En attendant la prochaine percée, il est inutile de porter un casque !! (ou une coquille)

D’après une recherche de David Larrousserie.

Une interview exclusive de la Maison Blanche sur la guerre contre le terrorisme -ô)

Note du webmaster :

Me JPH, l'efficace délégué secret pour l'Occident de sens-de-la-vie.com, a enquêté à notre demande sur l'étonnante guerre que les States préparent contre l'Irak.

Avec son audace habituelle, il a obtenu une interview exclusive de la part de deux anciens présidents - et ce à la Maison Blanche même - sur cette prochaine étape de la lutte contre le terrorisme. Il nous communique cette synthèse claire et explicite de leurs commentaires sur l'action engagée par Georges W Bush :

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 Le climat se dégrade sérieusement.

La pollution atmosphérique est l’une des nuisances les plus complexes pour l’environnement, car les courants atmosphériques peuvent entraîner l’air pollué vers n’importe quelle partie du globe.

Actuellement un nuage brun, formé de gaz toxique, est observé par les satellites, il s’étend de l’Ouest de l'Inde à l’Est de la Chine, et du nord de la Chine au sud de l’Indonésie. Des centaines de milliers de personnes en subissent les effets, aggravation des maladies pulmonaires, toux chroniques, etc..

Les pays industrialisés sont les principaux responsables de la pollution atmosphérique. Par exemple, bien que la population des États-Unis ne représente que 5% de la population mondiale, le pays produit 24% des émissions de gaz carbonique et plus de 20% des gaz responsables de « l’effet de serre» (gaz carbonique et méthane).

Ces émissions nuisent à l’environnement en provoquant des pluies acides, en contribuant au réchauffement de la Terre et en réduisant la couche d’ozone protectrice qui entoure le globe.

Les pluies acides constituent une menace pour le monde entier. Elles se produisent lorsque le dioxyde de soufre et l’oxyde d’azote sont rejetés par les automobiles, bateaux, avions, ainsi que par les usines qui puisent l’énergie à partir de la combustion de carburants fossiles. (pétrole, charbon, bois, etc..) Ces gaz retombent sur la planète sous forme de précipitations acides. Ces pluies ont pollué de nombreux lacs au Canada et au nord-est des États-Unis, mais elles sévissent également dans les États non industrialisés, tels qu’Hawaii et d’autres îles du Pacifique.

Au Royaume-Uni, près de soixante pour cent des arbres perdent leurs feuilles à cause de ces retombées corrosives. La production des cultures vivrières a diminué considérablement dans de nombreuses parties du globe. De plus, les pluies acides ont rongé les façades de nombreux chefs-d’œuvre artistiques et architecturaux, comme les sculptures antiques de Rome et le Sphinx de Gizeh en Égypte.

Le réchauffement général de la planète est un autre effet secondaire de la pollution atmosphérique. Bien que les scientifiques ne soient pas du même avis sur les origines de ce phénomène, tous l’ont toutefois constaté. L’une des principales causes serait la forte concentration dans l’atmosphère, de gaz tels que le gaz carbonique et le méthane.

Ces gaz s’appellent des gaz à «effet de serre» car ils retiennent la chaleur dans l’atmosphère terrestre au lieu de la dissiper. Ce phénomène provoque une hausse de la température de l’air.

Depuis un siècle, la concentration de CO2 monte en flèche, entraînant la hausse des températures et celle du niveau de la mer. Pour témoin, la fonte du glacier Columbia en Alaska.

Depuis le début du XXe siècle, la quantité de gaz carbonique dans l’atmosphère a augmenté de 25%, principalement en raison de la combustion de carburants fossiles.

D’après les niveaux actuels d’émissions de gaz à effet de serre, la moyenne des températures mondiales augmentera de 1°C à 3°C d’ici 2050. (En comparaison, les températures n’ont chuté que de 3°C pendant l’ère glaciaire, période à laquelle une proportion importante de la surface de la terre était recouverte de glace). Si ce réchauffement se prolonge, les glaciers vont fondre, ce qui provoquera une hausse du niveau de la mer de quelque 65 centimètres, valeur suffisante pour inonder la plupart des villes côtières.

De Mark Meier : « c’est la dilatation de l’eau sous l’effet du réchauffement qui est le facteur le plus important de l’élévation du niveau des océans »

Le GIEC, dans son dernier rapport, L’évalue à 0,7 millimètre par an depuis une quarantaine d’années. Mais selon Cécile Cabanne, océanographe à Toulouse, depuis 1993 la hausse moyenne annuelle a plus que triplé, passant ainsi à 2,5 millimètres. Pour le XXIe siècle, il est prévu une élévation moyenne, oscillant entre 40 et 98 centimètres. Moins d’un mètre semble dérisoire, mais suffit à mettre en péril un grand nombre de zones côtières.

Jean Jouzel ( CNRS/CEA) précise : « À L’échelle de deux ou trois siècles, cela signifierait une élévation de plusieurs mètres, le processus allant en s’accentuant. Nous basculons dans un changement climatique majeur, jamais vu auparavant. Et même si l’on arrêtait aujourd’hui d’émettre des gaz à effet de serre, le mécanisme est de toute façon enclenché, et la montée des eaux ne s’arrêterait pas pour autant »

Quant aux îles de très faible épaisseur de terre, comme les Maldives, elles seront submergées et disparaîtront totalement ! Dans le Pacifique à 800 km au nord des îles Fidji, les 11 000 personnes de l’archipel de Tuvalu en vivent la cruelle expérience.

Avec son altitude maximal de 5 mètres au-dessus de la mer, l’un des plus petits pays au monde est le témoin passif du rétrécissement progressif de sa surface émergée, (26 Km²) considérant que le risque d’engloutissement est inévitable, les habitants cherchent une terre d’accueil, et aux dernières nouvelles, la Nouvelle-Zélande serait disposée à les recevoir.

D’ici quelques années d’autres îlots se retrouveront dans la même situation, quel pays voudra alors devenir terre d’accueil pour ces centaines de milliers de naufragés ?

À Tahiti et en Nouvelle-Calédonie, l’alarme fut donnée par les coraux. Depuis une dizaine d’années, les scientifiques assistent impuissants, a leur blanchissement progressif.

Le rapport de l’OPECST est sur ce point effrayant : « selon certaines estimations, environ 80% des atolls seraient morts par suite des fluctuation de climat »

Un autre problème majeur lié à la pollution atmosphérique, est la diminution de la couche d’ozone qui filtre les rayons nocifs ultraviolets (UV). Le phénomène a été décelé pour la première fois au-dessus de l’Antarctique pendant les années quatre-vingt. Des « trous » ont ensuite été mis en évidence dans la couche d’ozone en d’autres points des deux hémisphères. Ceux-ci se créent lorsque les molécules d’ozone sont détruites par les chlorofluorocarbures (CFC) qui s’échappent dans l’atmosphère. Les CFC sont des produits chimiques utilisés comme réfrigérants ou comme gaz propulseurs dans les bombes aérosols.

Certains scientifiques estiment que la couche d’ozone a déjà été réduite de soixante pour cent par la pollution et qu’une perte de dix pour cent provoque jusqu’à 300 000 nouveaux cas de cancers de la peau, ainsi que 1,6 million de cas de cataractes dans le monde. Les niveaux élevés d’UV, qui provoquent ces cancers de la peau et ces troubles oculaires, nuisent également au plancton, premier maillon de la chaîne alimentaire dans les océans. Une baisse importante de la quantité de plancton risque de provoquer des diminutions catastrophiques des autres formes de vie marine.

Enfin, la pollution atmosphérique urbaine apparaît généralement sous la forme de nuages de pollution émis par les usines et les automobiles. Elle constitue un risque majeur et très grave pour la santé de plus d’un milliard de personnes dans le monde.

Insurrection chez Mickey,

Onze états ont envoyé une lettre adressée à George W. Bush à la maison blanche, signifiant leur désaccord avec l’inaction fédérale en matière de réchauffement climatique. Au lieu de signer le protocole de Kyoto, le plan d’initiative américain propose une réduction de 18% sur dix ans des émissions de gaz à effet de serre.

Mais proportionnellement au PIB du pays qui croît de 3% par ans, cela revient à augmenter les émissions se gaz de plus de 10% d’ici à 2012. Encore des applaudissements pour l’Amérique !!

 

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A suivre ...

 

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Le futur moi j'y crois ! 

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© Textes - Jean Philippe Harmance et sources.

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Updated september 13, 2005