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Énergie universelle et super strings

 

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 Dimension 3

L'humain et l'univers

 

suite 2

3.024 " Énergie universelle et super strings "

ou ma grand-mère avait raison

 

  

Ma grand-mère me disait :

" l'univers n'est que vibration"

il semble qu'elle avait raison, ce qui explique parfaitement les phénomènes de résonance que nous avons avec lui et les pouvoirs de notre esprit.

  

Cordes et supercordes

ou le rêve d'Einstein

Quintessence moderne des efforts des physiciens pour comprendre la structure de la matière et ses interactions fondamentales, la " théorie des cordes et des supercordes " a ouvert la voie à une investigation de questions aussi essentielles que la dimensionnalité de l'espace-temps, la grande unification ou l'évolution de l'Univers. Les théoriciens du SPhT contribuent de façon active, à la fois à la caractérisation des théories invariantes conformes qui sous-tendent la théorie des cordes, à sa renormalisation et à la construction explicite de modèles de cordes à 4 dimensions.
Figure 1 :
Surface d'univers balayée par des particules en forme de corde au cours de leurs déplacements et de leurs interactions dans l'espace-temps (l'axe horizontal représente le temps l'axe vertical les dimensions d'espace). Les cordes fermées balaient des surfaces qui sont des cylindres déformés. Lorsque deux cordes se rencontrent, elles se rejoignent en formant une troisième corde : deux cylindres forment un troisième cylindre. Quand deux cordes se séparent, elles créent un trou dans la surface d'univers (D'après [2]).
La théorie des cordes sommeillait depuis plus de quinze ans quand elle s'est trouvée brusquement propulsée au premier plan de l'actualité scientifique.

En 1984, deux théoriciens, Michael Green et John Schwarz, ont alors montré qu'elle pouvait fournir une nouvelle voie d'accès à un problème fondamental et resté sans réponse depuis Albert Einstein : réconcilier la mécanique quantique avec la relativité générale, unifier la théorie de la gravitation avec les autres interactions fondamentales de la matière. On peut dire que c'est le début de la réalisation d'un rêve inaccessible, le fameux "champ unique" recherché en vain par le sage de Princeton dans les vingt dernières années de sa vie. Une véritable aventure conceptuelle s'engage donc, mais avec la perspective de prolongements concrets dans la mesure où les nouveaux accélérateurs de particules comme le LEP à Genève et le SLC aux États-Unis, pourraient bientôt ouvrir la voie des vérifications expérimentales. Cinq ans après la percée théorique, et quelque temps avant les premiers résultats expérimentaux, on peut faire un rapide et provisoire bilan dans ce domaine où se sont lancées les meilleures écoles de physique théorique du monde entier.

L'idée centrale de la théorie des cordes est de ne plus considérer comme constituant fondamental un objet ponctuel se déplaçant dans le temps (une particule élémentaire) mais comme un objet filiforme, une corde.

La "corde élémentaire" peut s'étirer, se tordre, vibrer, se diviser ou fusionner au cours du temps en engendrant des surfaces à deux dimensions qui vont jouer dans la mécanique des cordes le rôle des trajectoires pour les particules élémentaires (Figs. 1 et 2). En fait, ces cordes sont extrêmement petites, ce qui ne permet pas de les distinguer des particules élémentaires dans toute expérience directe. Ce qui est spécifique aux cordes qui obéissent aux équations de la Mécanique Quantique Relativiste, c'est qu'elles déterminent en grande partie l'Espace-Temps dans lequel elles se meuvent et les interactions auxquelles elles sont soumises !

Il faut en effet distinguer ce qu'on appelle la "dimension intrinsèque" d'un objet comme une particule ou une corde en mouvement et la "dimension de l'espace de plongement" dans lequel elles se meuvent. Le fait nouveau, c'est le lien remarquable entre les deux.

 

Ainsi, la théorie des cordes, dans sa première version, impliquait un espace-temps à 26 dimensions, alors que la supercorde, ou corde possédant un degré de liberté de rotation (spin), vivait dans un espace-temps à 10 dimensions.

 

La gravitation quantique, mais aussi l'électromagnétisme et les interactions nucléaires deviennent alors de simples conséquences de la géométrie et de la quantification du mouvement de la corde. La grande intuition d'Einstein, selon laquelle la Géométrie devrait être le principe unificateur de la matière et de ses interactions, et qui fut à la base de ses découvertes des théories relativistes, prouve une nouvelle fois sa fécondité.

 
Figure 2 :
A très petite échelle les particules élémentaires ne seraient pas ponctuelles mais auraient la forme de cordes infiniment minces. L'interaction entre deux cordes s'effectuerait par l'intermédiaire de processus de "cassure" et de "collage" et elle procéderait par échange de "bouts de cordes". Conséquence importante il n'y a plus séparation entre "constituants de la matière" et "médiateurs des interactions"; il n'y a plus qu'une seule classe d 'objets, les cordes (D'après [1]).

Dès les premières études sur la théorie des supercordes, il est apparu une transformation radicale du rôle de l'Espace-Temps : de nouvelles dimensions spatiales (six) étaient requises et il fallait imaginer un processus de "compactification" de ces dimensions supplémentaires pour comprendre leur absence à l'échelle expérimentale, même microscopique. A l'échelle où la gravitation devient unifiée avec les autres interactions, ces dimensions peuvent prendre une réalité tangible.

Cette conception s'est depuis lors encore modifiée, car la structure de l'Espace-Temps dans lequel se meut la supercorde apparaît encore plus versatile puisqu'elle admet plusieurs géométries différentes (de sphère, de tore ou plus complexes encore) ou peut correspondre à des géométries qui peuvent fluctuer. Le concept qui a progressivement émergé est celui d'une propriété intrinsèque de la supercorde, non dépendante de son "plongement" : l'invariance conforme, c'est-à-dire l'invariance dans les transformations d'échelle locale. C'est comme si en chaque point de l'Espace-Temps, la corde pouvait s'étirer ou se froncer sans changer ses propriétés observables. Et c'est cette propriété serpentine qui caractériserait au mieux l'espace de plongement. D'une certaine manière, la boucle est bouclée : déjà rendue conceptuellement caduque (mais pas en pratique bien sûr) par la Relativité, la conception newtonienne d'un espace-temps intangible dans lequel se meuvent les objets est remplacée par une définition intrinsèque venant de l'objet lui-même, de l'espace dans lequel il se meut. Mais parmi tous les "espaces invariants conformes", lequel se trouve choisi par les équations de la supercorde ? La question reste actuellement en suspens.

Elle fait suite à une première étape qui permet de recenser et étudier tous les espaces admissibles. Nul besoin d'en souligner l'enjeu ! Il s'agit rien de moins que de comprendre pourquoi ce bas-monde "vit" en quatre dimensions et peut-être de saisir les clés profondes de notre univers. Beaucoup d'obstacles sont encore à franchir mais pourquoi se priver du plaisir de rêver avec notre vieil et respecté ami Einstein !

 

http://www-drecam.cea.fr/drecam/phases/phases_03/p3article1.html
  
Des supercordes minuscules

Moins de 0,2 millimètres :

telle serait la taille des six dimensions qui, selon la théorie des supercordes,

s’ajouteraient aux quatre que l’on connaît déjà. 

États-Unis

19/02/2001 - Selon la théorie des supercordes, la force gravitationnelle se « déverse » dans d’autres dimensions ; et, selon une expérience qu’ont menée des physiciens de l’université de Washington, ces « autres dimensions » mesurent moins de 0,2 millimètres.

 
La théorie des supercordes postule six dimensions supplémentaires (les boules, qui n’en représentent ici que deux) aux quatre que nous connaissons déjà (les lignes, qui n’en représentent également que deux).

 

D’autres dimensions ?
Oui, car la théorie des supercordes propose qu’outre les quatre dimensions « habituelles » – longueur, hauteur, profondeur et temps –, notre univers en compte six de plus ! Ces dimensions « supplémentaires » expliqueraient notamment pourquoi la gravité exerce une force si faible : si un petit aimant réussit à la « battre » lorsqu’il soulève un clou sur une table, ce serait parce que la gravité s’est « écoulée » dans d’autres endroits.

Ces dimensions, révélées par de minuscules cordelettes – d’où le nom de supercordes – sont impossibles à voir, précise la théorie. Tentant néanmoins de les mesurer, Charles David Hoyle et ses collègues ont vérifié si la gravité telle que postulée par Newton s’exerçait encore normalement à 0,2 millimètres. C’est le cas, rapportent-ils dans le dernier numéro de Physical Review Letters, après avoir mené l’expérience avec un appareillage sophistiqué.

Cela ne veut pas dire, précisent-ils, que la théorie des supercordes est fausse puisque celle-ci, de toute façon, postule que les six « nouvelles » dimensions mesureraient à peine 10 -33 centimètres (33 zéros après la virgule). Mais pour le vérifier, il faut bien commencer quelque part : les physiciens de l’université de Washington espèrent maintenant mesurer la gravité à 0,1 mm et continuer ainsi jusqu’au jour où, pourquoi pas, ils rencontreront les supercordes.

http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N2211.asp

 

Mais en fait il existe aussi, et au moins, une cinquième dimension

elle infinie, reconnue aussi par les scientifiques

 
 
 
Les "super strings" ont l'avantage d'expliquer bien des choses, et notamment la présence d'une énergie universelle nommée Prâna par les Hindous, CHI par les Chinois, et Ki par les japonais.
Un penseur Bedri C. Cetin a écrit un livre sur le rapprochement à établir entre ces supercordes et le Chi, et les conséquences à en tirer ; en voici une présentation par lui-même.
Énergie Universelle

Examen Scientifique et systématique

I N T R O D U C T I O N

Dans ce livre, vous trouverez, détaillées et systématiques, les réponses à toutes vos questions telles que :

"Qu'est-ce que l'Énergie Universelle ?",

" Que sont les chakras ? "

" Comment un traitement en Énergie Universelle fonctionne-t-il ?",

" Quelle est la principale cause de toutes les maladies?",

" Quelle est la Vérité fondamentale à propos du corps humain et de l'existence universelle ?",

" Comment peut-on soigner et empêcher les maladies tout à la fois ?".

A la fin de ce livre, vous trouverez également une section intitulée " Fondements de la spiritualité", dans laquelle vous lirez - selon la croyance de l'auteur, - "l'une des recherches les plus systématiques jamais faites en spiritualité."

 

 

 

Ma grand-mère ajoutait:

" l'univers est une musique et un chant "

 

Portait de ma grand-mère en arlésienne à 18 ans copyright sens-de-la-vie.com,  

 

il semble qu'elle avait raison aussi, et je partage sa vision poétique car si vous écoutez une fréquence de 408 Mhz vous ne verrez plus les étoiles mais entendrez cette musique de la totalité du ciel.
 
La voici en image virtuelle

source N.A.S.A

les rares points brillants ne sont pas des étoile mais des pulsars.

" Explanation: Tune your radio telescope to 408MHz (408 million cycles per second) and check out the Radio Sky! You should find that frequency on your dial somewhere between US broadcast television channels 13 and 14. In the 1970s large dish antennas at three radio observatories, Jodrell Bank, MPIfR, and Parkes Observatory, were used to do just that - the data were combined to map the entire sky. Near this frequency, cosmic radio waves are generated by high energy electrons spiraling along magnetic fields. In the resulting false color image, the galactic plane runs horizontally through the center, but no stars are visible. Instead, many of the bright sources near the plane are distant pulsars, star forming regions, and supernova remnants, while the grand looping structures are pieces of bubbles blown by local stellar activity. External galaxies like Centaurus A, located above the plane to the right of center, and the LMC (below and right) also shine in the Radio Sky. "
 La suite en cliquant sur ce logo

Le pouvoir de la pensée humaine sur l'univers.  

    

© Textes - Ampewi Nunpa

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Updated september 13, 2005